Le savoir-faire lorientais au service de la GLOBE40


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Ville de départ du Prologue de la GLOBE40, Lorient s’investit également auprès des coureurs en leur apportant l’expertise de ses entreprises maritimes. Parmi elles, Teem, Delta Voile et Demi Clé accompagnent les équipages dans leur préparation mais seront également présentes aux escales, à travers le monde. L’occasion de faire rayonner encore davantage le savoir-faire local, à l’international.

Organisateur, directeur de course et coureurs sont formels : que le prologue de la GLOBE40 parte de Lorient n’est pas un hasard. C’est même une véritable aubaine puisque la cité portuaire aux infrastructures maritimes uniques en Europe est, en plus, un incroyable vivier de compétences. Les concurrents de la GLOBE40 sont donc ravis de bénéficier du savoir-faire local afin de peaufiner leurs derniers préparatifs. De quoi être fin prêts à prendre le large pour le Prologue de leur tour du monde. « Il n’y a pas meilleur endroit pour préparer un voilier de course », confirme Christophe Gaumont, Directeur de course.

Plusieurs professionnels du nautisme sont même directement impliqués, à Lorient mais également pendant les escales. V1D2, chantier naval caennais sera ainsi en charge du suivi, de la maintenance et des éventuelles réparations structurelles des bateaux tandis que Teem, spécialiste de l'électricité et de l'électronique marine, et Sylvain Pontu - au nom de la voilerie Delta Voile et du magasin d'équipements et d’accessoires nautiques Demi Clé - interviendront dans leurs domaines. Une belle reconnaissance pour ces structures lorientaises, en qui l’organisation a placé son entière confiance. « Que l’on fasse appel à nous est très valorisant, confie Carole Biarnes de chez Teem Lorient.  Et puis ce n’est pas une mission comme les autres, nos techniciens vont voyager aux quatre coins du monde, c’est une expérience unique pour eux. Et cela nous permet aussi de poursuivre notre histoire aux côtés des coureurs, de renforcer nos liens et notre connaissance de leur bateau. Nous travaillons beaucoup dans la plaisance mais la course au large reste dans notre ADN. »

Une relation à double-sens et une opportunité qu’a également saisi Sylvain Pontu : « Nous fournirons le matériel nécessaire aux réparations sur place, afin que les équipages aient un accompagnement tout au long de la course. Cela nous permettra d’avoir un retour d’expérience sur l’état des voiles en général et sur leur tenue autour du monde. Il sera aussi très intéressant de voir comment s’organisent les autres pays et s’enrichir de leur fonctionnement. »

L‘aventure s’annonce belle, tant sportivement que techniquement. Et humainement.